Aujourd’hui dans la chronnique musicale on va faire un petit tour dans le sud et atterrir sur Bordeaux, ville du groupe de Brutal Death : Bloodshed.

Je me suis procuré leur premier album : March Of The Undead, et effectivement à l'écoute de ce CD j’ai bien cru que les mort aller venir courir après des gente pucelle pour leur défourailler le bassin a coup de foutre putride.

Après une intro lente et pesante l’auditeur sait qu’il n’a pas affaire à un groupe débutant, les gars de Bloodshed maîtrise la machine et ils le montrent.

Riff brutaux et accrocheur, une batterie rapide et rythmée, une production impeccable, le tout dans une ambiance post apocalyptique.

Le groupe à beau être brutal et sans concession ce n’est pas pour ça q’il ce contente de trois riff et demi pompé sur Morbid Angel pour nous broyer les cervicales, non l’ambiance et surtout la personnalité y’est. Des chansons telle que Insane And Blood-Splattered ou Gorging On Blood And Secretions nous le prouve.

Je ne suis pas peux fier d’avoir (enfin) mis la main sur cet album plus que prometteur, je vous ferais un chronnique de la première démo que je n’ai toujours pas.

Bloodshed, un char d’assaut Bordelais qui nous fait dire que le Death Metal et toujours là, couvert de haine et de viscère.

Comme vous le savez tous, je suis rester au fond de moi un inconditionnel fan de Black Metal, et comme vous le savez aussi j’aime des chose franchement spéciale.

Spécial comme Arckanum.

Spécial dans le sens de la personne qui représente à lui seul cette entité.

One man Band formé en 1992 par l’ex batteur du merveilleux groupe Grotesque, Arckanum signe un Black Metal haineux, Froid et rapide.

Déjà culte dans le milieu, les riffs accrocheur nous entraîne dans un monde anti-cosmique, ou la magie croise avec aisance les croyances païennes et sataniques.

Arckanum est à écouté par les amoureux du style et sera ravir les amateur de Black Metal à la Mgla.

On pourra dire ce qu’on voudra, Arckanum est le seul one man band sortant du cliché copié coller de Darkthrone, NS ou encore impersonnel.