Après un petit moment d’absence dû à divers contre temps (que je vous expliquerez peut être), le Journal du HOW revient pour votre plus grand bonheur.

Je vais d’ailleurs changer de formule, le journal du HOW n’apparaîtra plus par numéros mais je ferais suivre les articles sans coupure spéciale, les « hors série » seront mentionné par couverture ou une bannière.

J’aurais bien voulut continuer la forme journal/numéros mais l’actuelle plate forme ne permet pas ce genre de possibilité. De plus, je me contenterez de copiez/collez les article, je suis désolé mais la perte de temps occasionné pour la mise en page est énorme de plus beaucoup ce plaigne de la petite écriture, mais c’est la plate forme qui veut ça, pas moi.

Le contenu ne changera pas, cela restera un torchon inintéressant bien entendu.

Bien, maintenant que vous êtes bien rassurée que je soit en vie, retirez vous les doigt du nez.

Il y’aura quelque coupure du journal car je suis légèrement débordé. Je dois m’occupé de mon association, ce qui me prend pas mal de temps étant donné le nombre de mail que je dois envoyer a un gros paquet de groupe, je dois aussi geeker avec des potes sur DoD car j’ai une team, et je l’aime bien, j’ai aussi mon groupe, et bien sur y’a le HOW que je dois voir pour vous rapportez des news bien fraîche qui ferrez mouiller n’importe qu’elle pucelle de 14 boutonneuse et qui ce rase même pas.

Alors, ami de l’immoral et de la bière, ne vous inquiéter pas, je continuerai à vous écrire des bousasse joyeuse.

Enjoy  

Le coup de gueule de ce numéros va peut être ouvrir des vannes recouvrant l’intégrité virtuelle que ce journal représente d’un flot boueux de messages haineux, utopiste et gaucho mais je vous emmerde.

Maintenant que j’ai annoncé la couleur je peux introduire mon article.

Ce coup de gueule ne vient pas uniquement de moi-même, du HOW mais de la pensée d’un peuple qui en a marre de subir.

Racket, vol, casse, émeute, viol…On vous agace avec ce genre de discours soi disant fascisant et de victime ? Ok, on va continuer alors.

J’aimerais pousser ma gueulante contre tout ce qu’est devenu la France : un amas de déchet rampant dans son lot de violence quotidienne. Pour régler le problème de cette violence gratuite diverses solution sont mis en œuvre : débat insipide où chacun campe sur ses positions, lois camouflant des faits, inventant des excuses telle que la pauvreté, la minorité, le délit de faciès…Mais c’est bien de s’intéresser au coupable de cette violence, de leur trouver des excuses, de les médiatisés, bref de les rendre juste plus confiants et surtout plus présent.

Parle-t-on des gars comme nous, qu’on appelle victime, ou encore petit riche blanc se plaignant alors qu’on ne devrait pas ? Montrons les gamins de 12-15 même pas se faisant péter la gueule dans les collèges par simple amusement, les gamines de 14 ans qui doivent descendre dans des caves sordides pour s’adonner à des besognes sexuelle comblant la libido de 10 fils de pute, montrons le quotidien de jeune qui sont obligés de changer de style, de gueule, de chemin parce qu’il ont peur de sortir dans leur quartier, montrons en somme les dégâts des soi disantes minorités, de ces jeunes soi disant pauvres et mal aimé.

J’habite en cité, et pour tout dire je ne suis pas blanc pâle, blond et aux yeux bleus. Mais je suis victime de racisme anti blanc. Pourquoi, car si ces racailles voient un type qui ne correspond pas au profil du banlieusard brûle-voiture-viole-ta-femme, ils ont devant eux un gars qui choisit de vivre librement sur leur territoire, qui choisit de marcher tranquillement sans se soucier que le petit Momo a pas de ps2, sans se soucier de la vie de leur territoire, et ça, il peuvent pas l’accepter. Un gars différent qui pense différemment et qu’en plus parle correctement c’est un facho. C’est un gars qui est pas dans la misère, donc c’est un Souchien (ou sous chien), donc un facho, donc un blanc, donc un friqué, donc on le nique.